De baisers
Océan de pleurs
Je voudrai me noyer
Océan d’amour
Que je n’ai pas sus attraper
Océan sans retour
Mais où vais-je donc aller ?

Ton absence se ressent
Je n’ai pas sus donner l’amour
Que tu croyais y trouver
Dans ton cœur envolé

Le silence qui me prend
Me force à méditer
Le temps passe et s’installe
Océan de mon cœur
Emporte moi, là bas
Loin de moi

Et tu frappes à mon cœur
Cœur noyé cœur brisé
Et d’un baiser de douleur
Tu viens tout cicatriser
Mon cœur a disparu
Embrassé explosé
Pulvériser
C’est si dur de t’aimer
Y penser je n’ose plus

Et le temps a passé et sans bruit a durcis
Tout tes doux mots d’amours
Ne sont plus que sécheresse
Que détresse de toi
Ton sourire s’est figé
Dans l’été de nos amours
Et une fleur a poussé

Doux cactus que tu étais
Oui, Le temps est passé
La douleur est restée
Les piquants de ton cœur
Ont fait place au désert.

Le vautour est venu
Se repaître de moi
Me reste que la fleur
De mon âme
Que je viens chaque nuit
Arroser

De mes larmes,

En secret

C’est ainsi

C’est la vie!

bleus caressent
Mes envies de toi
tes yeux amoureux
se posent sur mes lèvres
Viennent m’embrasser
Nuage de baisers

Ma main sur ton front
Caressent doucement
Ta peau enchantée
J’aime t’embrasser
T’effleurer des lèvres
Juste te humer
Respirer tes lèvres et puis m’envoler
Parfums de tendresse

Caresse de tes mots
se posent sur ma peau
J’aime ces moments
où je te câline
tu te laisses aller
Et je peux t’aimer
M’emplir de toi
Caresser ta bouche et puis
tu viens m’enlacer

Nos lèvres se touchent
Elles se reconnaissent
C’est si doux un baiser
De son bien aimé
J’aime m’abandonner
Et ne plus penser
me laisser flotter
nuage de tendresse

J’aime trop être toi
Etre ta soumise
Indocile parfois
Tu emplis ma vie
De tout tes baisers
Tes mots de douceur
Dorment dans mon cœur

Ma peau affamée est
Toujours comblée
Par tes élans de douceurs
Où tu viens mon coeur
Qu’importe le temps
Il dure longtemps
Un baiser de toi
Je suis dans tes bras
Hum,tu es vraiment mon Roi!

Inconnu

La nuit lorsque je me réveille,
 

Encore engourdi par le sommeil,
 

Dans mes fenêtres,
 

Je vois apparaître,
 

Une silhouette de diablesse,
 

Un monstre gigantesque.
 

Aussitôt mon regard se détourne,
 

Ma tête se retourne,
 

Dans une autre direction
 

Pour me retrouver dans une situation,
 

Encore plus périlleuse,
 

Il n'y a plus de veilleuse.
 

La tête sous les draps,
 

Je prie pour qu'il n'y a pas,
 

De cadavre sous mon lit,
 

Prêt à sortir de son abri,
 

Pour m'attraper
 

Et me torturer.
 

Mon esprit s'efforce de contrôler,
 

Cette peur irraisonnée,
 

Penser à des images de beauté,
 

Dans des pays enchantés,
 

Là, les monstres nous sourient,
 

Les cauchemars sont des rêveries.
 

Devant la porte, une enfant dépenaillée,
 

A maintenant des ailes de fée,
 

La silhouette d'une cathédrale,
 

Dans cette brume matinale,
 

Se transforme en guerrier,
 

Maîtrisé et immobilisé.
 

Je me rendors tout doucement,
 

Vers ce royaume m'envolant,
 

Pour danser avec les fées,
 

Une ronde cadencée,
 

D'Amour mon coeur est rempli,
 

Entouré des anges du Paradies
 

De mes pensées
Quand il pleut

Tu es le paravent
De mon cœur nu

Mon âme
A chaque mue et son habit

Tu es le moût
Le nectar et le sucre
Tu es le plaisir
le fruit défendu

T'es la tentation
La brèche vers le délit
Je pécherai sans remord
Et me repentir après
Sur le prie-dieu de ta poitrine

Inconnu